Fille de 18 ans vend sa culotte portée qui pue à Nice
Moi je suis Isabelle 18 ans et je suis à Nice, ma particularité, c’est que je suis soumise sexuellement, mais personne ne le sais sauf les mecs que je rencontre pour me faire dominer de temps en temps. J’ai une histoire de fou à vous raconter, et une culotte à vendre qui pue à mort, genre vraiment, c’est pas une blague. Je suis partie en camping à la Brigue à 1h30 de chez moi dans un endroit très isolé avec des potes, mais j’ai oublié de prendre des culottes de rechange. Honteuse de devoir l’admettre, j’ai gardé la même culotte pendant toute la semaine. Je ne l’ai même pas lavé une seule fois et vous allez comprendre pourquoi.
Ma culotte dégoutante me plongeait dans l’embarras
Je sais, on ne dirait pas qu’elle pue comme ça à part les quelques perte blanche mais l’odeur de mouille, de transpi et de pisse est insupportable les gars, croyez moi cela va vous déboucher le nez. Le premier jour, j’ai commencé à sentir que ma culotte se salissait de plus en plus. L’odeur était là, discrète mais présente, et ça me dégoûtait. Pas de douche, pas de changement, juste cette culotte qui devenait de plus en plus embarrassante.
J’étais excitée par l’odeur forte de ma culotte
Le deuxième jour, après avoir transpiré et même un peu pissé dessus par accident, l’odeur est devenue plus forte. Au départ, ça me troublait, mais puis, étrangement, ça m’a excitée. Je sentais que mon corps réagissait différemment, l’humiliation de cette situation me faisait ressentir des choses nouvelles et interdites. C’est là que j’ai décidé de ne pas la laver alors qu’au départ je pensais la laver à l’eau en bouteille. Les autres avaient de quoi se changer et avec une toilette sommaire avec des lingettes cela passait à peu près. Moi j’avais même oublié les lingettes.
L’Odeur qui a Trahit ma négligence d’hygiène
Le troisième jour, j’avais l’impression que tout le monde sentait ma culotte de loin, même s’ils ne disaient rien. Cette idée d’être exposée, de porter cette odeur comme un badge d’infamie, ça m’a fait quelque chose dans le bas du ventre. J’étais troublée, je sentais une chaleur monter, une excitation que je n’avais jamais connue avant. Il faut dire que les autres parlaient dans mon dos et je savais très bien de quoi il parlaient, de ma culotte. Il faut bien comprendre que je prend plaisir dans la soumission et surtout l’humiliation, c’est la base de ma sexualité.
Branlette Secrète et Humiliation
Le quatrième jour, cette humiliation m’a poussée à me toucher en cachette dans les buissons en pissant, jusqu’à jouir, surtout la nuit dans ma tente, utilisant cette odeur comme un aphrodisiaque involontaire. Chaque fois que je sentais quelqu’un s’approcher, mon cœur battait plus vite, non pas de peur d’être découverte, mais d’un désir inavouable. J’ai commencé à aimer ce secret honteux, cette culotte devenait une part de moi que je ne voulais pas avouer, mais qui m’excitait terriblement.
L’Acceptation de l’Odeur horrible
Le cinquième jour, j’ai accepté cette nouvelle réalité. L’odeur était maintenant horrible mais renforçait mes pulsions les plus secrètes et inavouables. Je me suis encore branlée, cette fois avec un certain plaisir de garder mon petit secret, celui de me branler en cachette, à défaut de pouvoir cacher les relents nauséabond de ma culotte horriblement souillée.
Porter cette culotte souillée, une humiliation si excitante
Je me sentais même rassurée de savoir que les autres sentaient mais ne disaient rien, ce qui accentuait cette sensation d’humiliation excitante. Au final j’avais presque l’impression de les dominer moi-même vu qu’il ne pouvaient rien dire.
L’Excitation dans le Secret
Le sixième jour, sans pouvoir me laver ni changer, j’ai continué ce jeu dangereux avec moi-même, chaque moment de solitude devenant une occasion de me toucher la chatte à travers ma culotte ou même sans en la sniffant, c’était bon de la sentir bien chaude et collée contre mes narines, l’odeur devenant insupportable ne freinait pas du tout mon excitation, bien au contraire.
La Décision de Vendre ma petite culotte portée une semaine
Et le septième jour, de retour à Nice, j’ai eu cette idée folle : vendre cette culotte. Elle a tout vécu avec moi : le dégoût, l’excitation, l’humiliation, et ces moments secrets de branlette. Elle pue grave, mais c’est une odeur unique, un souvenir de ce road trip de malade.
L’Offre pour les Fétichistes
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