JF propose une culotte crade et puante à Paris

Je suis Clara, 19 ans, et je vous propose une culotte portée, hyper crade et puante à Paris. Elle sent des semaines de pisse et de mouille récoltées lors de mes séances de masturbation. Allez, je vous dis tout.

Je ne roule pas sur l’or alors je veux vendre ma culotte

Je suis étudiante en communication, passant une partie de mon temps dans un petit studio parisien où je ne fais pas grand-chose à part étudier, et l’autre à la fac. Je n’ai pas beaucoup d’amis pour sortir et, franchement, je ne roule pas sur l’or, donc les sorties, on évite…

J’ai pissé de peur dans ma culotte à cause d’un pervers dans le bus

Ce matin-là, j’étais pressée de prendre le bus pour la fac. La pluie avait rendu le trajet insupportable, et le bus était bondé comme jamais. Me frayant un chemin, je me suis accrochée à une barre pour ne pas tomber. La foule était telle que j’avais l’impression de suffoquer. Soudain, j’ai senti quelqu’un se presser contre moi, un peu trop insistant.

Son souffle sur ma nuque, ses mains effleurant ma taille sous prétexte de se tenir, m’ont fait monter une peur panique. Bloquée, je ne pouvais ni m’éloigner ni protester, et je sentais son sexe bandé contre mes fesses. Il poussait de toutes ses forces. Cette sensation d’être prise au piège a déclenché une réaction inattendue : j’ai fini par me pisser dessus. La chaleur s’est répandue dans ma culotte et le long de mes cuisses, créant peu à peu sur le sol une tache humide et honteuse.

Je suis restée là, mortifiée, sentant la pisse couler goutte à goutte à travers ma culotte. Ma chatte était trempée et mes pieds pataugeaient dans une flaque. Le mec a capté ma gêne et en a profité encore plus : il me pelotait le cul à pleines mains à travers ma robe. Cela a duré jusqu’à ce que je puisse enfin sortir à mon arrêt. Je me suis vite essuyée les cuisses dans les toilettes d’un café… Quant à ma culotte, elle avait déjà un peu séché, donc je l’ai gardée sur moi toute la journée.

Je me suis branlé dans ma culotte pleine de pisse car j’étais excitée

Après mes cours, j’ai mis une bonne heure pour rentrer à pied. Hors de question de reprendre le bus aux heures de pointe ; la peur était encore trop présente. Je n’avais même plus la force de me changer et je me suis laissée tomber sur mon lit. Mais en repensant à ce moment, une étrange chaleur s’est réveillée en moi. Je n’étais plus seulement en colère ou effrayée ; curieusement, j’étais excitée. Cela m’arrive souvent après un gros stress.

C’est très excitant de se branler dans sa petite culotte qui sent le pipi

Je repensais à cet homme qui me touchait les fesses, à sa queue qui semblait imposante, et à moi portant cette culotte humide de pisse. Et j’ai commencé à me caresser. Le tissu était à nouveau humide, mais de mouille cette fois, et il collait à ma peau, rendant chaque toucher plus intense. Mes doigts glissaient sur le tissu, traçant des cercles autour de mon clitoris. La sensation était amplifiée par l’humidité de ma propre pisse se mêlant à ma mouille. Une odeur assez incroyable commençait à envahir la pièce et m’excitait encore plus.

Elle est tâchée de cyprine, bien crade et odorante à souhait

Chaque mouvement de ma main ajoutait à cette symphonie humide, les taches de cyprine s’ajoutant à celles déjà présentes, rendant la culotte encore plus crade et odorante. J’ai continué, le plaisir montant jusqu’à ce que je jouisse. L’humidité et la senteur de ma culotte étaient si fortes que je voulais la conserver, alors je l’ai directement mise sous plastique pour m’en resservir sans perdre son parfum.

J’ai porté cette culotte pisseuse si longtemps qu’elle pique les yeux

En fin de compte, j’ai gardé cette culotte, non pas pour la honte, mais comme un souvenir. Je voulais me rappeler de ce moment où j’ai transformé une frayeur en excitation, laissant des traces bien visibles de mon plaisir solitaire. Je voulais pouvoir la réutiliser pour me branler à nouveau en la portant. Cette culotte, maintenant chargée d’un mélange de peur, de honte, de pisse et de plaisir, a absorbé pendant près d’un mois toutes les jouissances que j’ai eues : une bonne dizaine en tout. Je l’ai aussi portée plusieurs fois à nouveau sans jamais la laver, alors je peux vous jurer que l’odeur est si forte qu’elle pique les yeux.

Une petite culotte portée qui pue la mort, c’est un bon aphrodisiaque

Cependant, même puante comme la mort, j’avoue qu’elle reste très excitante et qu’il m’arrive de la sniffer moi-même en me branlant. Cette odeur, c’est un aphrodisiaque digne du film Le Parfum. Le tissu sale dégage des effluves qui amplifient l’orgasme quand on le respire. L’effet est incroyable. Mais j’ai à présent assez joué avec et je ne veux pas que cela devienne une obsession ou une perversion. Cette histoire a bien trop duré et mes jeux pervers aussi. Alors voilà le deal :

Je vous vend ma culotte remplie de mes odeurs pour presque rien, tenté ?

Ma culotte, j’ai bien envie d’en faire profiter l’un d’entre vous à condition qu’il me dise de temps en temps ce qu’il fait avec : un mail, un texto, une photo, à vous de voir. Mais attention, il faudra bien en prendre soin et la remettre dans un sachet plastique pour qu’elle garde mon odeur le plus longtemps possible, comme symbole du lien que nous allons créer entre nous si vous prenez contact.

Si cette culotte vous intéresse, inscrivez-vous et dites-le-moi. On verra ce qu’on peut faire. Cela ne vous coûtera presque rien, rassurez-vous. Je ne suis pas du genre à vendre des culottes à 50 euros ou même à 30. Faut pas abuser.

Mon pseudo : Clarapente_19